Forbidden Ambitions

By Analia Noir

Veronique is a dynamic 27 year old young executive and a rising star at Esthemed , a company selling medical equipment for cosmetic surgeons. She has, as her clients, some of the most prestigious plastic surgeons of France. She must do all she can to win them over and convince them to buy her products.

She is very clever at using her charms to coax her clients on, and she knows how to gently get rid of them when they become . . . sticky.

Veronique is single, earns more and more money, and is fascinated inwardly by the world of the rich and famous.

On day she meets a certain Dr. Leduc, one of the richest and most famous surgeons in Paris. Veronique's freshness, as he calls it, pleases him, and it leads her into the very closed world of Parisian show biz with its parties, its personalities . . . and its dangers...

Just how far will Veronique go to climb the ladder?

What does Dr. Leduc have in store for her?


You get the bilingual Edition of the bestselling book "Forbidden Ambitions" of French author Analia Noir. This book only had 5 star ratings from Kindle readers.

This is a 20,000 word novella. In this ebook, you get both the French and the English version.

Note form the author:
I am a French self-published author and I love to share my erotic romance stories with an English-speaking public :) By the way, my French author name is Analia Noir (without the -e at the end of Noir)
I plan to publish most of my best erotic romance books in the near future, so your support is greatly appreciated :)
In this book, you'll find all of the 3 part of the French Edition as published in August 2016, followed by the translated edition in English.

Feel free to jump from one to the other if you feel like imprpoving your French skills :) Or you can also jump straight to the English version.

• Language: English
• Publisher: Analia Noir
• Release date: Sep 16, 2022
• ISBN: 9798215134856

Book preview

Analia Noire

Forbidden Ambitions

Bilingual Edition

Table of Contents

French Edition:

Charmes naturels (Tome 1)

Paradis artificiels (Tome 2)

Le bal des zombies (Tome 3)

English Edition:

Natural Charms (Book 1)

Artificial Paradises (Book 2)

The Ball of the Zombies (Book 3)

A word from the author:

––––––––

Welcome to this bilingual Edition of the bestselling book Forbidden Ambitions of French author Analia Noire !

I am a French self-published author and I love to share my erotic romance stories with an English-speaking public :) By the way, my French author name is Analia Noir (without the -e at the end of Noir)

I plan to publish most of my best erotic romance books in the near future, so your support is greatly appreciated :)

In this book, you'll find all of the 3 part of the French Edition as published in August 2016, followed by the translated edition in English.

Feel free to jump from one to the other if you feel like imprpoving your French skills :) Or you can also jump straight to the English version.

Here the table of content:

Table of Contents

French Edition:

Charmes naturels (Tome 1)

Paradis artificiels (Tome 2)

Le bal des zombies (Tome 3)

English Edition:

Natural Charms (Book 1)

Artificial Paradises (Book 2)

The Ball of the Zombies (Book 3)

A word from the author:

French Edition:

––––––––

Analia Noir

Ambitions Interdites

––––––––

Véronique est une jeune cadre dynamique de 27 ans et l’étoile montante de Esthemed, une entreprise de vente de matériel médical pour chirurgiens esthétiques. Elle vient tout juste d’être promue au service commercial de Paris Rive Droite, la zone commerciale la plus en vue pour son entreprise.

Les chirurgiens plastiques les plus prestigieux de France deviennent alors sa cible : elle doit tout faire pour les conquérir et les convaincre d’acheter ses produits.

Elle sait habilement jouer de son charme pour amadouer les clients et les éconduire gentiment lorsqu’ils se montrent trop...collants.

Elle est célibataire, elle gagne de plus en plus d’argent, et cet univers de riche la fascine...

Un jour, elle rencontre le Dr. Leduc, un des chirurgiens les plus prestigieux et les plus riches de Paris.

Sa fraîcheur, comme il dit, lui plaît, et l’entraîne dans le monde très fermés du show biz parisien, avec ses soirées, ses personnages...et ses dangers...

Jusqu’où Véronique ira-t-elle pour grimper les échelons ?

Que lui réserve le Dr. Leduc ?

Charmes naturels (Tome 1)

École de commerce, travail irréprochable, puis promotion sur Paris : Véronique n’a que 27 ans, mais elle a déjà réussi sa vie. Une vie où elle avance seule, sans attaches. Une seule ombre au tableau... Son métier lui fait fréquenter un monde qui la fascine, mais auquel elle est encore loin d’appartenir : celui de l’élite.

C’est alors qu’un client lui propose de lui ouvrir ces portes dorées, en lui présentant ses amis du Club, mystérieux lieu de rendez-vous où le chirurgien esthétique retrouve ses propres patients : ceux qui ont assez d’argent pour se payer ses services, assez d’influence pour se libérer une place dans son emploi du temps..

Il connaît tout de leur intimité, ils n’ont donc aucun secret pour lui. Leurs loisirs décadents vont surprendre la jeune provinciale, la séduire et la choquer, mais si elle veut demeurer dans leur cercle, elle devra y prendre part.

Quand Véronique accompagne le docteur Leduc au Club, elle sait qu’elle ne pourra plus revenir en arrière. Mais n’est-ce pas justement ce qu’elle a toujours voulu ?

A la première rencontre, Véronique Alman n’était qu’une jolie vendeuse comme les autres. Mutine et pimpante, c’est vrai, mais finalement assez discrète avec son élégance de petite bourgeoise, sa permanente d’un blond vénitien presque argenté, et sa voix feutrée au léger accent de Touraine, qui semblait davantage faite pour lire des contes aux enfants à l’heure du coucher, que pour crier le prénom d’un amant.

A la seconde rencontre, on décrivait un intellect brillant, intuitif et vif comme l’éclair. L’humour caustique qui savait fleurir sur ces jolies lèvres fines, rehaussées d’un rouge à lèvres rose pâle, avait de quoi surprendre les plus naïfs.

Les autres parlaient de ses grands yeux verts, de chatte plutôt que de fillette, qui savaient aussi bien flirter que repousser avec élégance les avances trop pressantes. Une vraie charmeuse, sans aucune vulgarité, mais qui pouvait promettre beaucoup sans prononcer un mot – et qui ne donnait jamais ce qu’elle avait promis. En plusieurs années de relations permanentes avec des clients souvent séducteurs, elle était restée célibataire.

Elle avait surtout un vrai don, une sorte de pouvoir magique : elle sentait instinctivement qui serait réceptif, et à quoi ; elle pouvait présager à coup sûr de la sexualité de son interlocuteur, dès la première poignée de mains.

A la troisième rencontre, il était trop tard.

Véronique était représentante en matériel médical pour le compte de la firme Esthemed, une enseigne renommée et spécialisée. Pour une si jeune femme, c’était un poste très convoité et elle ne ménageait pas ses efforts pour rester dans les petits papiers de ses patrons.

Ceux-ci avaient très vite vu l’avantage de nommer une demoiselle dans son genre ambassadrice de leurs produits.

Ils savaient bien que leur principal rayon d’expertise, la chirurgie esthétique, était souvent pratiquée par des hommes entre deux âges, qui apprécieraient la compagnie d’une fille agréable à regarder, mais surtout ambitieuse, intelligente et aguicheuse. Elle avait presque l’air trop sage ; on mourait d’envie de briser sa carapace.

C’est ainsi que, rapidement, Véronique se vit proposer une promotion. A la fois une chance qui couronnait ses efforts, et une source de stress : elle montait sur Paris, et si elle avait toujours eu en vue la conquête de la capitale, elle ignorait si elle était déjà prête. Seule au monde, sans attaches, c’était une perspective intimidante.

Elle se lança cependant sans une hésitation. Le loyer qu’elle payait pour un simple studio au cinquième étage était un investissement considérable, mais elle ne le regretta pas en constatant l’augmentation de son chiffre de vente, et de son salaire. Elle commençait à se rêver une identité de parisienne branchée, bien différente de la petite provinciale qui était arrivée avec ses appréhensions et son charme pétillant.

La fréquentation permanente des cabinets cosmétiques, de leur clientèle et de leur presse spécialisée avait une influence sur sa vision de la vie. Il lui semblait que tout était possible, y compris se transformer en une personne différente, plus glamour, si elle y mettait le prix. Et c’est dans cet état d’esprit qu’elle rencontra pour la première fois le client qui allait changer sa vie : un docteur de la rive droite, Daniel Leduc.

Dès que leurs regards se croisèrent, ils se reconnurent. Ils étaient faits du même bois : jeunes et ambitieux, énergiques et disciplinés, solitaires et prêts à tout. Le sourire qu’ils s’adressèrent en se saluant était déjà presque complice. Véronique songea que c’était une affaire toute conclue : celui-là l’aimait bien, sans qu’elle ait besoin de lui faire du charme. Il allait acheter toute la panoplie les yeux fermés !

Mais ce ne fut pas aussi simple qu’elle l’avait supposé.

« Je suis ravie de vous faire découvrir notre nouvelle gamme de lampes écologiques, à haute précision... »

« Pardon, quel est votre prénom, déjà ? »

Intriguée, elle l’observa plus attentivement. Est-ce qu’elle l’avait déjà croisé ? Le docteur Leduc était un trentenaire mince et nerveux, mais sûr de lui, la mâchoire volontaire, l’œil franc, le geste rapide et direct, la voix chaude et douce. Il avait tout pour mettre en confiance une patiente incertaine de son charme, et lui promettre de faire d’elle une déesse. C’était un vrai magicien, de ceux qui éberluaient les villageois avant l’arrivée de la science. Mais elle ne pensait pas l’avoir déjà rencontré.

« Véronique, pourquoi ? »

« Oh rien, je me disais qu’on pouvait s’appeler par nos prénoms et se tutoyer. Si vos produits sont si pratiques, je serai amené à faire appel à vous régulièrement, pas vrai ? »

Une impression familière électrisa tous les sens de la jeune femme : un test. Comme ses professeurs en école de commerce, il testait sa résolution. Si elle manifestait le moindre soupçon de malaise, il douterait d’elle, et surtout de la qualité de son catalogue. Mais elle n’était pas née de la dernière pluie, et son sourire resta fermement accroché sur son doux visage.

« En effet, j’aimerais conserver avec vous de longues et fructueuses relations professionnelles. Mais si on se tutoie, ce ne sera plus si professionnel, pas vrai ? »

Elle s’en était habilement sortie. Au sourire qu’il lui décocha, elle eut l’impression qu’il lui mettait mentalement une bonne note. Elle ne manifesta rien, mais intérieurement, elle bouillonnait : qu’est-ce que c’était que ce client ? Comment se permettait-il de l’évaluer, de lui lancer des défis ? Il fallait vraiment qu’elle se montre plus séductrice, et qu’il succombe à son charme.

Le seul résultat de cette bonne résolution fut un rendez-vous fixé au samedi soir suivant, qu’elle accepta sans même y réfléchir.

Le magicien l’avait prise à son propre piège.

Elle quitta son cabinet toute étourdie, essayant de remettre de l’ordre dans ses pensées ; au moins, elle lui avait vendu quelques articles, et il était disposé à la revoir, donc elle allait sans doute être félicitée d’avoir ajouté ce bon client à son portefeuille. Mais il l’avait aussi entraînée au-delà des limites qu’elle se fixait également.

Comme elle lui avait déjà fait remarquer, il n’évoluait pas avec elle sur un terrain très professionnel.

Cependant, ces particularités la convainquirent de se rendre bel et bien au rendez-vous. Elle aurait pu l’annuler, mais finalement, c’était hors de ses heures de travail et ça ne lui coûtait rien de profiter un peu des lumières de Paris. Avec tout le travail qu’elle fournissait, elle se dit qu’elle avait mérité une soirée de détente.

Et si elle était tout à fait honnête avec elle-même, le docteur Leduc avait piqué sa curiosité. Elle avait hâte de jouer la deuxième manche, et de lui montrer cette fois qu’elle voyait clair dans son petit jeu.

En arrivant à l’adresse indiquée, elle vit un bar comme il y en avait des dizaines dans la même rue, avec une terrasse décorée de fausses plantes, illuminée de lampions électriques colorés, une petite bougie sur chaque table. Sobrement intitulé « Le Club », il proposait des soupers fins en plus des habituelles boissons.

Placé à côté du menu, stratégiquement devant la liste des prix, qu’il dissimulait ainsi à la jeune femme, le docteur la salua sans hésiter, bien qu’elle ait pris un malin plaisir à s’habiller tout à fait autrement qu’à leur première rencontre.

Pour son travail, elle privilégiait d’habitude les teintes claires et dorées ; le soir, elle s’habillait volontiers en noirs et rouges tranchés, frangés de bandes blanches, pour se mettre en valeur. Ses cheveux bouclés étaient maintenant attachés et dégageaient son visage, également un peu plus maquillé ; et au lieu de ses lunettes cerclées d’or, elle portait des lentilles, ce qui lui agrandissait les yeux.

Malicieux, Leduc ne se priva pas de la contempler, tout en se gardant bien de faire la moindre remarque sur son apparence esthétique. Il savait entretenir la tension et gérer les ambiances, elle pouvait au moins lui reconnaître cela.

« J’ai cru un instant que vous ne viendriez pas, » soupira-t-il en singeant le soulagement. « Si cet établissement vous convient, je dois dire que j’y ai mes habitudes et que je serais ravi de vous les faire partager. »

Il y avait dans ses paroles comme une aura de mystère et d’interdit, mais cette intuition ne dura qu’un bref instant. Véronique se demanda ce qui avait pu la lui suggérer. Peut-être une lueur un peu étrange, qui avait brillé dans les yeux de son nouveau client, et qu’elle ne parvenait pas à interpréter. Mais après tout, c’est pour ça qu’elle était venue : pour qu’il l’introduise dans la jet-set parisienne, où il semblait avoir ses entrées.

« Je vous suis, » affirma-t-elle gaiement, et il lui prit le bras pour se diriger vers l’entrée. Elle constata sans peine que sans lui, elle n’aurait jamais pu passer le seuil. Un videur gardait la porte, aussi charmant qu’une porte de prison.

Mais quand il reconnut Leduc, il s’écarta, avec un petit signe de la tête qui ressemblait presque à une courbette. Impressionnée, Véronique murmura : « Vous êtes une sommité ici, docteur. » Elle était légèrement ironique. Quel que soit son talent avec un bistouri à la main, il avait en