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Phèdre
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Ebook471 pages2 hours

Phèdre

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About this ebook

Jean Racine (French: [ʒɑ̃ ʁasin]), baptismal name Jean-Baptiste Racine (22 December 1639 – 21 April 1699), was a French dramatist and an important literary figure in the Western tradition. Racine was primarily a tragedian, producing such "examples of neoclassical perfection" as Phèdre, Andromaque, and Athalie.
Racine's plays displayed his mastery of the dodecasyllabic alexandrine; he is renowned for elegance, purity, speed, and fury, and for what Robert Lowell described as a "diamond-edge", and the "glory of its hard, electric rage". Racine's dramaturgy is marked by his psychological insight, the prevailing passion of his characters, and the nakedness of both plot and stage.
LanguageEnglish
Release dateApr 22, 2021
ISBN9791220295833
Phèdre
Author

Jean Racine

Jean Racine, né le 22 décembre 1639 à La Ferté-Milon et mort le 21 avril 1699 à Paris, est un dramaturge et poète français. Issu d'une famille de petits notables de la Ferté-Milon et tôt orphelin, Racine reçoit auprès des « Solitaires » de Port-Royal une éducation littéraire et religieuse rare.

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    Phèdre - Jean Racine

    DRAMMATURGIA 21

    Jean Racine

    Phèdre

    Google translated into

    English, German, Spanish

    Edited by

    Nazzareno Luigi Todarello

    https://n6-img-fp.akamaized.net/free-icon/copyright_318-119237.jpg?size=338&ext=jpg 2021 Latorre Editore

    Italy

    www.latorre-editore.it

    Phèdre

    Google translated

    Acteurs

    Thésée, fils d'Egée, roi d'Athènes.

    Phèdre, femme de Thésée, fille de Minos et de Pasiphaé.

    Hippolyte, fils de Thésée et d'Antiope, reine des Amazones.

    Aricie, princesse du sang royal d'Athènes.

    Oenone, nourrice et confidente de Phèdre.

    Théramène, gouverneur d'Hippolyte.

    Ismène, confidente d'Aricie.

    Panope, femme de la suite de Phèdre.

    Gardes.

    La scène est à Trézène, ville du Péloponnèse.

    Cast

    Theseus, son of Aegeus, king of Athens.

    Phaedra, wife of Theseus, daughter of Minos and Pasiphae.

    Hippolytus, son of Theseus and Antiope, queen of the Amazons.

    Aricie, princess of the royal blood of Athens.

    Oenone, nurse and confidante of Phaedra.

    Theramene, governor of Hippolytus.

    Ismene, confidante of Aricie.

    Panope, woman of Phaedra's suite.

    Guards.

    The scene is in Trézène, city of Peloponnese.

    Besetzung

    Theseus, Sohn von Aegeus, König von Athen.

    Phaedra, Frau von Theseus, Tochter von Minos und Pasiphae.

    Hippolyte, Sohn von Theseus und Antiope, Königin der Amazonen.

    Aricie, Prinzessin des königlichen Blutes von Athen.

    Oenone, Krankenschwester und Vertraute von Phedre.

    Theramene, Statthalter von Hippolyte.

    Ismene, Vertraute von Aricie.

    Panope, Frau aus Phaedras Suite.

    Guards.

    Die Szene ist in Trézène, Stadt Peloponnes.

    Actores

    Teseo, hijo de Egeo, rey de Atenas.

    Fedra, esposa de Teseo, hija de Minos y Pasiphae.

    Hipólito, hijo de Teseo y Antíope, reina de las amazonas.

    Aricie, princesa de la sangre real de Atenas.

    Enone, enfermera y confidente de Phedre.

    Teramenes, gobernador de Hipólito.

    Ismene, confidente de Aricie.

    Panope, mujer de la suite de Phaedra.

    Guardias.

    La escena está en Trézène, ciudad del Peloponeso.

    ACTE PREMIER

    Scène I.

    Hippolyte, Théramène

    HIPPOLYTE

    Le dessein en est pris: je pars, cher Théramène,

    Et quitte le séjour de l'aimable Trézène.

    Dans le doute mortel dont je suis agité,

    Je commence à rougir de mon oisiveté.

    Depuis plus de six mois éloigné de mon père,

    J'ignore le destin d'une tête si chère;

    J'ignore jusqu'aux lieux qui le peuvent cacher.

    THÉRAMÈNE

    Et dans quels lieux, Seigneur, l'allez-vous donc chercher?

    Déjà pour satisfaire à votre juste crainte,

    J'ai couru les deux mers que sépare Corinthe;

    J'ai demandé Thésée aux peuples de ces bords

    Où l'on voit l'Achéron se perdre chez les morts;

    J'ai visité l'Elide, et laissant le Ténare,

    Passé jusqu'à la mer qui vit tomber Icare.

    Sur quel espoir nouveau, dans quels heureux climats

    Croyez-vous découvrir la trace de ses pas?

    Qui sait même, qui sait si le roi votre père

    Veut que de son absence on sache le mystère?

    Et si, lorsque avec vous nous tremblons pour ses jours,

    Tranquille et nous cachant de nouvelles amours,

    Ce héros n'attend point qu'une amante abusée...

    ACT FIRST

    Scene I.

    Hippolytus, Theramenes

    HIPPOLYTUS

    The design is taken: I'm leaving, dear Theramene,

    And leave the stay of the kind Trézène.

    In the mortal doubt of which I am agitated,

    I start to blush with my idleness.

    For more than six months away from my father,

    I do not know the fate of such a dear head;

    I do not know where to hide it.

    THERAMENES

    And in what places, Lord, are you going to search?

    Already to satisfy your just fear,

    I ran the two seas separated by Corinth;

    I asked Theseus to the peoples of these edges

    Where we see the Acheron lost in the dead;

    I visited Elide, and leaving the Tenare,

    Passed to the sea where Icarus fell.

    On what new hope, in what happy climates

    Do you believe discovering the trace of his steps?

    Who knows, who knows if the king your father

    Want of his absence we know the mystery?

    And if, when with you we are shaking for his days,

    Quiet and hiding new loves,

    This hero does not wait for an abused lover ...

    ZUERST HANDELN

    Szene I.

    Hippolyte, Theramenes

    HIPPOLYT

    Das Design ist gefallen: Ich gehe, lieber Theramene,

    Und lassen Sie den Aufenthalt der Art Trézène.

    In dem tödlichen Zweifel, über den ich aufgeregt bin,

    Ich fange an, mit meiner Untätigkeit zu erröten.

    Seit mehr als sechs Monaten von meinem Vater weg,

    Ich kenne das Schicksal eines so lieben Kopfes nicht;

    Ich weiß nicht, wo ich es verstecken soll.

    THERAMENES

    Und an welchen Orten, Herr, wirst du suchen?

    Um deine gerechte Angst zu befriedigen,

    Ich rannte durch Korinth.

    Ich habe Theseus nach den Völkern dieser Ränder gefragt

    Wo wir den Acheron verloren in den Toten sehen;

    Ich besuchte Elide und verließ die Tenare,

    Übergelaufen zum Meer, wo Ikarus fiel.

    Auf welche neue Hoffnung, in welchen glücklichen Klimazonen

    Glaubst du, die Spur seiner Schritte zu entdecken?

    Wer weiß, wer weiß, ob der König dein Vater ist

    Willst du von seiner Abwesenheit wissen wir das Geheimnis?

    Und wenn wir mit dir für seine Tage zittern,

    Ruhig und versteckte neue Lieben,

    Dieser Held wartet nicht auf einen missbrauchten Liebhaber

    ACTUAR PRIMERO

    Escena I.

    Hippolyte, Teramenes

    HIPÓLITO

    El diseño está tomado: me voy, queridoTheramene,

    Y deja la estancia del tipo Trézène.

    En la duda mortal de la cual estoy agitado,

    Comienzo a sonrojarme con mi inactividad.

    Por más de seis meses lejos de mi padre,

    No sé el destino de tan querida cabeza;

    No sé dónde esconderlo.

    TERAMENES

    ¿Y en qué lugares, Señor, vas a buscar?

    Ya para satisfacer su solo miedo,

    Corrí los dos mares separados por Corinto;

    Le pregunté a Teseo a los pueblos de estos bordes

    Donde vemos el Acheron perdido en la muerte;

    Visité Elide, y dejando el Tenare,

    Pasó al mar donde Ícaro cayó.

    En qué nueva esperanza, en qué climas felices

    ¿Crees descubrir el rastro de sus pasos?

    Quién sabe, quién sabe si el rey tu padre

    ¿Quieres su ausencia? ¿Conocemos el misterio?

    Y si, cuando contigo estamos temblando por sus días,

    Silenciosos y ocultos nuevos amores

    Este héroe no espera a un amante maltratado ......

    HIPPOLYTE

    Cher Théramène, arrête, et respecte Thésée.

    De ses jeunes erreurs désormais revenu,

    Par un indigne obstacle il n'est point retenu;

    Et fixant de ses voeux l'inconstance fatale,

    Phèdre depuis longtemps ne craint plus de rivale.

    Enfin en le cherchant je suivrai mon devoir,

    Et je fuirai ces lieux que je n'ose plus voir

    THÉRAMÈNE

    Hé! depuis quand, Seigneur, craignez-vous la présence

    De ces paisibles lieux si chers à votre enfance,

    Et dont je vous ai vu préférer le séjour

    Au tumulte pompeux d'Athènes et de la cour?

    Quel péril, ou plutôt quel chagrin vous en chasse?

    HIPPOLYTE

    Cet heureux temps n'est plus. Tout a changé de face

    Depuis que sur ces bords les dieux ont envoyé

    La fille de Minos et de Pasiphaé.

    THÉRAMÈNE

    J'entends. De vos douleurs la cause m'est connue.

    Phèdre ici vous chagrine et blesse votre vue.

    Dangereuse marâtre, à peine elle vous vit,

    Que votre exil d'abord signala son crédit.

    Mais sa haine sur vous autrefois attachée,

    Ou s'est évanouie, ou s'est bien relâchée.

    Et d'ailleurs quels périls vous peut faire courir

    Une femme mourante, et qui cherche à mourir?

    Phèdre, atteinte d'un mal qu'elle s'obstine à taire,

    Lasse enfin d'elle-même et du jour qui l'éclaire,

    Peut-elle contre vous former quelques desseins?

    HIPPOLYTE

    Sa vaine inimitié n'est pas ce que je crains.

    Hippolyte en partant fuit une autre ennemie:

    Je fuis, je l'avouerai, cette jeune Aricie,

    Reste d'un sang fatal conjuré contre nous.

    HIPPOLYTUS

    Dear Theramene, stop, and respect Theseus.

    From his young mistakes now back,

    By an unworthy obstacle he is not restrained;

    And fixing his wishes the fatal inconstancy,

    Phaedra for a long time no longer fears a rival.

    Finally, in seeking him I will follow my duty,

    And I will flee these places that I dare not see anymore

    THERAMENES

    Hey! since when, Lord, do you fear the presence

    From these peaceful places so dear to your childhood,

    And of which I saw you prefer the stay

    To the pompous tumult of Athens and the court?

    What peril, or rather what sorrow drives you?

    HIPPOLYTUS

    This happy time is no more. Everything has changed face

    Since on these edges the gods have sent

    The daughter of Minos and Pasiphae.

    THERAMENES

    I hear. From your pains the cause is known to me.

    Phedre here is heartbreaking and hurting your sight.

    Dangerous stepmother, she barely saw you,

    That your exile first signaled his credit.

    But his hate on you once attached,

    Or fainted, or relaxed.

    And besides what perils can you make run

    A dying woman, who is trying to die?

    Phèdre, suffering from an evil that she obstinately silences,

    Finally weary of herself and of the day that illuminates her,

    Can it against you form some designs?

    HIPPOLYTUS

    His vain enmity is not what I fear.

    Hippolytus, on leaving, flees another enemy:

    I'm fleeing, I'll admit, this young Aricie,

    Remains of a fatal blood conjured against us.

    HIPPOLYT

    Lieber Theramene, hör auf und respektiere Theseus.

    Von seinen jungen Fehlern jetzt zurück,

    Durch ein unwürdiges Hindernis wird er nicht zurückgehalten;

    Und seine Wünsche die tödliche Unbeständigkeit festsetzend,

    PHAEDRA fürchtet lange keinen Rivalen mehr.

    Schließlich, wenn ich ihn suche, werde ich meiner Pflicht folgen,

    Und ich werde von diesen Orten fliehen, die ich nicht mehr sehen will

    THERAMENES

    Hey! Seit wann, Herr, fürchtest du die Gegenwart?

    Von diesen friedlichen Orten, die deiner Kindheit so lieb sind,

    Und von denen ich sah, dass du den Aufenthalt bevorzugst

    Zu dem pompösen Tumult Athens und des Hofes?

    Welche Gefahr, oder vielmehr, welche Trauer treibt dich an?

    HIPPOLYT

    Diese glückliche Zeit ist nicht mehr. Alles hat sein Gesicht verändert

    Da an diesen Rändern die Götter gesandt haben

    Die Tochter von Minos und Pasiphae.

    THERAMENES

    Ich höre. Aus deinen Schmerzen ist mir die Ursache bekannt.

    Phedre ist herzzerreißend und verletzt deine Sicht.

    Gefährliche Stiefmutter, sie hat dich kaum gesehen,

    Dass dein Exil zuerst seinen Kredit signalisierte.

    Aber sein Hass auf dich hat einmal angehangen,

    Oder ohnmächtig oder entspannt.

    Und neben welchen Gefahren kannst du laufen lassen?

    Eine sterbende Frau, die versucht zu sterben?

    Phèdre leidet unter einem Übel, das sie hartnäckig zum Schweigen bringt

    Endlich müde von sich selbst und von dem Tag, der sie erleuchtet,

    Kann es gegen dich einige Designs bilden?

    HIPPOLYT

    Seine eitle Feindschaft ist nicht, was ich fürchte.

    Hippolyte flieht beim Verlassen einen anderen Feind:

    Ich fliehe, ich gebe zu, diese junge Aricie,

    Reste eines tödlichen Blutes beschworen gegen uns

    HIPÓLITO

    Querida Theramene, detente y respeta a Teseo.

    De sus jóvenes errores ahora de vuelta,

    Por un obstáculo indigno no es restringido;

    Y fijando sus deseos en la inconstancia fatal,

    FEDRA durante mucho tiempo ya no teme a un rival.

    Finalmente, al buscarlo cumpliré con mi deber,

    Y huiré de estos lugares que ya no me atrevo a ver

    TERAMENES

    ¡Hey! desde cuando, Señor, temes la presencia

    De estos lugares pacíficos tan queridos para su infancia,

    Y de lo que vi que prefieres la estancia

    ¿Al pomposo tumulto de Atenas y la corte?

    ¿Qué peligro, o más bien qué dolor te conduce?

    HIPÓLITO

    Este tiempo feliz ya no existe. Todo ha cambiado la cara

    Dado que en estos bordes los dioses han enviado

    La hija de Minos y Pasiphae.

    TERAMENES

    Escucho. Por tus dolores, la causa es conocida por mí.

    Phedre aquí es desgarrador y lastima tu vista.

    Su madrastra peligrosa, ella apenas te vio,

    Que su exilio primero marcó su crédito.

    Pero su odio hacia ti una vez unido,

    O desmayado, o relajado.

    Y además de qué peligros puedes correr

    Una mujer moribunda, ¿quién está tratando de morir?

    Phèdre, sufriendo de un mal que ella obstinadamente silencia,

    Finalmente cansado de sí mismo y del día que la ilumina,

    ¿Puede contra usted formar algunos diseños?

    HIPÓLITO

    Su vana enemistad no es lo que temo.

    Hipólito, al irse, huye de otro enemigo:

    Estoy huyendo, lo admitiré, este joven Aricie,

    Los restos de una sangre fatal conjuraron contra nosotros.

    THÉRAMÈNE

    Quoi? vous-même, Seigneur, la persécutez-vous?

    Jamais l'aimable soeur des cruels Pallantides

    Trempa-t-elle aux complots de ses frères perfides?

    Et devez-vous haïr ses innocents appas?

    HIPPOLYTE

    Si je la haïssais, je ne la fuirais pas.

    THÉRAMÈNE

    Seigneur, m'est-il permis d'expliquer votre fuite?

    Pourriez-vous n'être plus ce superbe Hippolyte

    Implacable ennemi des amoureuses lois,

    Et d'un joug que Thésée a subi tant de fois?

    Vénus, par votre orgueil si longtemps méprisée,

    Voudrait-elle à la fin justifier Thésée?

    Et vous mettant au rang du reste des mortels,

    Vous a-t-elle forcé d'encenser ses autels?

    Aimeriez-vous, Seigneur?

    HIPPOLYTE         Ami, qu'oses-tu dire?

    Toi qui connais mon coeur depuis que je respire,

    Des sentiments d'un coeur si fier, si dédaigneux,

    Peux-tu me demander le désaveu honteux?

    C'est peu qu'avec son lait une mère amazone

    M'a fait sucer encor cet orgueil qui t'étonne.

    Dans un âge plus mûr moi-même parvenu,

    Je me suis applaudi quand je me suis connu.

    Attaché près de moi par un zèle sincère,

    Tu me contais alors l'histoire de mon père.

    Tu sais combien mon âme, attentive à ta voix

    S'échauffait aux récits de ses nobles exploits,

    Quand tu me dépeignais ce héros intrépide

    Consolant les mortels de l'absence d'Alcide,

    Les monstres étouffés et les brigands punis,

    Procruste, Cercyon, et Scirron, et Sinnis,

    Et les os dispersés du géant d'Epidaure,

    Et la Crète fumant du sang du Minotaure.

    Mais quand tu récitais des faits moins glorieux,

    Sa foi partout offerte et reçue en cent lieux,

    Hélène à ses parents dans Sparte dérobée,

    THERAMENES

    What? Do you, Lord, persecute her?

    Never the kind sister of the cruel Pallantides

    Did she ditch the plots of her treacherous brethren?

    And should you hate his innocent appas?

    HIPPOLYTUS

    If I hated her, I would not run away.

    THERAMENES

    Lord, am I allowed to explain your flight?

    Could you be no longer this superb Hippolytus

    Implacable enemy of the love laws,

    And of a yoke that Theseus has suffered so many times?

    Venus, by your pride so long despised,

    Would she finally want to justify Theseus?

    And putting you in the ranks of the rest of the mortals,

    Did she force you to incense her altars?

    Would you like, Lord?

    HIPPOLYTUS         Friend, what do you say?

    You who know my heart since I breathe,

    Feelings of a heart so proud, so dismissive,

    Can you ask me disgrace disgrace?

    It's not that with his milk an Amazon mother

    Has made me suck that pride that surprises you.

    In a mature age myself,

    I applauded myself when I met.

    Attached to me by sincere zeal,

    You told me the story of my father.

    You know how my soul, attentive to your voice

    Warmed up to the stories of his noble exploits,

    When you depicted me this fearless hero

    Comforting the mortals of Alcide's absence,

    The smothered monsters and the robbers punished,

    Procruste, Cercyon, and Scirron, and Sinnis,

    And the scattered bones of the giant of Epidaurus,

    And Crete smoking blood of the Minotaur.

    But when you recited less glorious facts,

    His faith everywhere offered and received in a hundred places,

    Elena stolen in Sparta to her parents,

    THERAMENES

    Was? Verfolgst du, Herr, sie?

    Nie die nette Schwester der grausamen Pallantides

    Hat sie die Verschwörungen ihrer tückischen Brüder vergessen?

    Und sollten Sie seine unschuldigen Appas hassen?

    HIPPOLYT

    Wenn ich sie hasste, würde ich nicht davonlaufen.

    THERAMENES

    Herr, darf ich deinen Flug erklären?

    Könntest du nicht länger dieser großartige Hippolyte sein?

    Unerbittlicher Feind der Liebesgesetze,

    Und von einem Joch, das Theseus so oft erlitten hat?

    Venus, durch deinen Stolz, so lange verachtet,

    Würde sie Theseus endlich rechtfertigen wollen?

    Und dich in die Reihen der übrigen Sterblichen zu versetzen,

    Hat sie dich gezwungen, ihre Altäre zu weihen?

    Möchtest du, Herr?

    HIPPOLYTE        Freund, was sagst du?

    Du kennst mein Herz, seit ich atme,

    Gefühle eines Herzens so stolz, so abweisend,

    Kannst du mich schimpfen?

    Es ist nicht das mit seiner Milch eine Amazonasmutter

    Hat mich dazu gebracht, diesen Stolz zu saugen, der dich überrascht.

    In einem reifen Alter selbst,

    Ich applaudierte mir selbst, als ich mich traf.

    Mit aufrichtigem Eifer an mich gebunden,

    Du hast mir die Geschichte meines Vaters erzählt.

    Du weißt wie meine Seele, aufmerksam auf deine Stimme

    Auf die Geschichten seiner edlen Heldentaten aufgewärmt,

    Als du mir diesen furchtlosen Helden geschildert hast

    Trost den Sterblichen von Alcides Abwesenheit,

    Die erstickten Monster und die Räuber bestraft,

    Prokruste, Cercyon und Scirron und Sinnis,

    Und die verstreuten Knochen des Riesen von Epidaurus,

    Und Kreta raucht Blut des Minotaurus.

    Aber wenn du weniger glorreiche Tatsachen rezitiertest,

    Sein Glaube wurde überall an hundert Orten angeboten und empfangen,

    Helen zu ihren Eltern

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