Lee Ufan : « La suprématie de la civilisation ne nous mène nulle part »

N 2014, trois ans après la rétrospective que le musée Guggenheim de New York lui consacrait, Lee Ufan, poids lourd mondial de l’art contemporain, investissait le château de Versailles avec plusieurs installations. L’une d’elles resurgit cet automne au domaine des Etangs, à Massignac (Charente). Garance Primat, la maîtresse des lieux, l’a acquise pour l’offrir au grand public sur un site choisi par l’artiste parmi les 1 000 hectares de sa propriété. Dans le même temps, les Alyscamps, la nécropole romaine arlésienne, expose son , riche d’une dizaine de pièces inédites. Et, au printemps 2022, une Fondation Lee Ufan ouvrira en Arles, à l’hôtel Vernon, concrétisant la rencontre du plasticien avec la ville qui lui a permis de « renouveler ses pensées ». A 84
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